De beaux vêtements pour Kaori

( ah ouais, pas mal l’idée ^^ )

Scott regardait autour de lui, se demandant dans quels rayons ils iraient après que Kaori ait choisi le maillot qu’il voulait. Peut-être les chaussures. Il faudrait des sandales, des chaussures de sport et après, des chaussons pour être à l’aise à l’hôtel. A moins qu’il ne mette que des chaussettes en intérieur tout comme l’Anglo-irlandais ? Non. Il valait mieux acheter des chaussons. On verrait bien par la suite s’il voulait toujours les mettre ou pas.
Mais alors que le guitariste se demandait quelle pointure pouvait bien faire Kaori, il sentit la main de celui-ci reprendre la sienne et la serrer. Son regard se reposa alors sur le garçon qui avait l’air de vouloir se cacher. Mais que se passait-il ? Il avait peur ? Peur de quoi ? De qui ? Mais comme bien souvent, la réponse vint très vite. Deux hommes vinrent les accoster et l’un deux demanda à Scott combien il vendait son esclave… Non, Kaori. Il voulait lui acheter Kaori ! Mais il était complètement malade cet homme ! Pourquoi voulait-il le garçon ? C’était encore un de ses barjots qui tenaient à faire du mal au jeune homme ? Alors pas question de le lui vendre. Même sans ça il n’était pas à vendre. L’Anglo-irlandais avait promis au garçon qu’il allait s’occuper de lui et tiendrait promesse. Il tenait trop à Kaori pour l’abandonner, surtout à un inconnu.

« Hum… Désolé, les personnes libres ne sont pas à vendre pour le moment. Repassez plus tard. » répondit Scott d’un ton enjoué, imitant un vendeur.

Il ne valait mieux pas rester ici. Sa blague allait sans doute être de mauvais goût pour ces hommes. Le guitariste commença donc à partir, tenant Kaori devant lui pour qu’il soit hors de porter des deux autres et le poussant pour qu’il avance. Non mais personne n’aurait son Kaori. Il l’avait acheté et voulait le garder avec lui. Cette pensée faisait encore croire que cette relation maître/esclave était encore présente pour le châtain mais ce n’était pas vrai du tout. Mais Kaori était sous sa responsabilité maintenant et il comptait beaucoup pour lui.

(merci merci merci *acclame la foule en délire*)

Kaori ne les regardait pas. Il l'avait bien reconnut le maître dont il était tombé amoureux. Il voulait le récupérer. Mais lui ne voulait pas reveir avec lui. il commençait à être heureux. A la plaisanterie de Scott, le rouquin s'irrita fortement. Il l'attrapa par l'épaule et lui dit en colère brandissant déjà son poingt.

"Arrête de te foutre de moi ordure tu va me le rendre imédiatement il est encore à moi ce gamin..."

Kaori les regardèrent. il vit alros l'autre homme se précipiter sur lui. il l'avait reconnut c'était lui qui l'avait fouettait à son arriver avec les autres esclaves. Il eut aros un reflexes qu'autrefois il n'avait jamais eu. Il parti en courant. Il se disait que Scott le retrouverai bien mais là il allait voit la sécurité. Et oué pas bête le tit Kaori. (je sais jle félicite en écrivant XD) Il alla voit un policier qui se tenait à une porte alros que l'autre lui courait après et il ferma à double tour le policier avec lui. il prit alros la main du policier et l'emmena à la porte. Là il expliqua que son grand frère était en train de ce faire taper dssus et qu'on oser dire que c'était un escave. il se mit à pleurer alors ne disant qu'ils étaient méchant et que son grand frère innocent en plus allait en baver et qu'ils racontaient que des mensonges. Et oui le petit Kaori était en train de ce servir de son visage encore très gamin pour et mignon pour faire gober au policier ce qui se passait.

(l'adore ste rep ^^huhu me suis fait aider par ma cop au tel Xd ça se voit quand mêm elle a dlimagination)

( huhuhu, j’adore la tournure des évènements ^^ )

Scott savait bien que sa blague n’allait pas plaire et que cette histoire n’allait pas s’arrêter là. Et il avait vu juste vu que le rouquin le rattrapa en lui posant la main sur l’épaule et en l’obligeant à se retourner, le menaçant de son poing. Non mais comment osait-il parler de la sorte de Kaori ? Le garçon ne lui appartenait pas. Il n’appartenait à personne. Il était libre.
Sentant la main du jeune Japonais lâcher la sienne, le guitariste tourna la tête et le vit courir devant le deuxième homme qui les avait abordé. Pourvu qu’il arrive à lui échapper… Oui, il y arriverait. Scott lui faisait confiance. Il aurait bien voulu le suivre mais malheureusement, il y avait ce sale rouquin qui l’en empêchait.

« Kaori ne vous appartient plus. Il ne vous a jamais appartenu. Vous ne lui avez fait que du mal. » répondit calmement le châtain, cachant sa colère et sa peur de se faire frapper.

Cet homme devant lui… C’était un ancien maître à Kaori. Un monstre qui avait osé lui faire du mal, le frapper, le violer. S’ils n’étaient pas ici, dans un endroit public et qu’il n’y avait personne autour d’eux, Scott l’aurait sans doute frappé ce malade. Pour lui faire payer les souffrances qu’il avait fait endurer au jeune Japonais. En plus, d’après le sens des paroles du rouquin, il donnait l’impression qu’il était le dernier maître en date. Serait-il possible que ce soit de lui que Kaori soit tombé amoureux ? Cette pensée énerva encore plus l’Anglo-irlandais. Comment cet homme avait-il pu avoir l’amour du garçon tout en étant un monstre avec lui ? C’était incompréhensible. Penser que cet ancien maître avait dû se servir des sentiments de son esclave pour mieux abuser de lui… Rhaa qu’est-ce que ça pouvait l’énerver. Scott l’aurait vraiment frappé celui-là s’il avait été sûr de ne pas avoir d’histoire par la suite. Mais par contre, peut-être que s'il agissait en légitime défense il n'aurait pas de problèmes... Qu'il le frappe alors cet idiot.

« Ca vous manque de ne plus pouvoir le violer et le tabasser, hein ? C’est pour ça que vous voulez le récupérer ? » demanda t-il, cette fois moins calmement et laissant voir en partie sa colère et son dégoût envers l’une des personnes qui avait fait souffrir Kaori… Son Kaori.

Kaori avait suivi le policier et m^me s’il avait pas pris sa main il aurait suivi le policier. Il savait que tout aller s’aranger. Et oui le bien triophe toujours c’est ce que lui disait sa mamn quand il était tout petit. Il fallait toujours croire dans les bienfait des gens honnête. Oulà c’était pas le moment qu’il se rappelle de sa mère. Souvent ça le faisait pleurer de revoir enfin justementde ne pas voir le visage de celle qui l’a mis au monde. Il regada alrs là où on l’avait mis quand il sentit une main lecaresser. Il sursauta croyant d’abord que c’était le rouquin. Mais souria en voyant que c’était Scott. Seulement le rouquin n’avait pas dit son dernier mot. Il sorti de sa poche les actes de propriété de Kaori. Le document attester qu’il c’était enfui dans l’exercice de ses fonctions et qu’il était en droit de le récupérer. Le pire c’était que le juge avait signer ce document. Ben oui le rouquin a des relations haut placé quand même. Kaori le regarda lui, la papier, le policier, Scott. Il sentit alros une main le prendre pr le bras et un policier l’emmena dans la pièce à côté.

Dans la pièce avec le policier, le rouquin, le blond et Scott :

Le policier regardait encore les papiers et it à Scott en s’asseyant tranquillement derrière son bureau. Il fit fermait et garder la porte à clef. Il ne voulait pas être déranger voyant que l’affaire risquait d’être assez compliquer. Il les regarda tour à tour avant de dire à Scott.

« Pouvz-vous me donner une pièce d’identiter s’il vous plait… »

Il ne savait pas trop quoi dire. D’abord il fllait savoir si Kaori tout à l’heure avait menti. S’il était vraiment esclave ou si c’était un homme libre. Le rouquin afficha un petit sourire. Et oui ayant ce papier en main Scott ne pouvait rien faire puisque devant la loi il était bien.

Dans la pièceavec Kaori et le policier:

Le policier regardait le petit garçon qu’il venait d’amener. Il navait pas l’air très joyeux ; Et on remarquait vite une chose il était déterminer. A quoi ? mais à rester libre. C’était fini la vie d’esclave c’était un adolescent comme les autres maintenant. Il regarda l’homms qui l’avait emmener et demanda gentillement.

« Monsieur vous allez pas me laisser repartir avec cemonstre vous en supli soyez gentil je veux pas »

Il se mit alorsà pleurer. Il se doutait que son ancien maître avait décidéça depuis un moment et que s’il voulait le récupérer il avait fait bien des préparatif. Tout ce qu’il voulait de toute manière il l’obtenait. Il sanglotter et le olicier n’arrivait pas à le rassurer en lui disant des mots gentil. Il dit alros d’unepetite voix.

« Veux faire un calin à Scott… »

Et voilà maintenant le policier était das de beu draps car Kaori faisait une crise. Il ne voulait voir qu’une persone et cette personne était dans l’autre pièce. Il pleurait de plus en plus. On fini par lui trouver des peluche mais il les jettait partout. dans la pièce. Une feme alros arriva et gifla Kaori pour qu’il reprenne ses esprits mais rien à faire ils n’arrêtaient pas de pleurer. Il voulait vraiment revoir son ami.
(vive le téléphone XD)

( je vois ça XD )

Se disant que tout allait bien se passer, Scott en douta fortement en voyant les papiers que sortit le rouquin de sa poche. Rien qu’en posant un regard dessus et en voyant le titre du document, il pu voir qu’il s’agissait d’un acte de propriété et que le nom de Kaori y apparaissait. Cela se présentait donc mal pour eux mais il ne fallait pas perdre espoir. Le guitariste n’allait pas laisser passer cela. Le garçon était en sécurité avec lui. Si jamais il retournait avec ce monstre qui avait été précédemment son maître, il allait de nouveau en souffrir. Il fallait donc tout faire afin de sauver le jeune Japonais de cet Enfer qu’il avait déjà vécu. Peut-être que si Kaori racontait tout ce que le rouquin lui avait fait le policier le croirait et le laisserait repartir avec Scott…
Malheureusement, le garçon se fit emmener dans une autre pièce. L’Anglo-irlandais se retrouvait donc seul avec un des policiers et l’autre malade qui l’avait frappé et son complice. Ce n’était pas une situation des plus rassurantes. Surtout que le rouquin avait pratiquement toutes les cartes en main pour avoir le droit de reprendre Kaori. Mais Scott allait tout faire pour pouvoir rentrer avec le garçon. Et même, dès qu’ils seraient hors de danger, ils iraient faire des papiers pour que le Japonais soit libre et qu’il puisse suivre le guitariste en Angleterre ainsi qu’habiter avec lui. S’il avait su que l’ancien maître de son ami voulait le reprendre, il aurait tout de suite fait les papiers nécessaires. Il s’en voulait maintenant… Mais ce n’était pas le moment de se laisser aller. Tout se passerait bien et Kaori pourrait avoir sa glace lorsqu’ils iraient à la plage en fin d’après-midi.
A la demande du policier, Scott sortit de sa poche son portefeuille et de celui-ci sa carte d’identité qu’il tendit à l’agent. Niveau papier, tout était en ordre de son côté… comme pour celui du rouquin... L’acte de propriété étant posé sur la table du côté de l’agent, le guitariste dû faire un effort afin de lire à l’envers ce qu’il y avait marqué. Quoi ?!! Le document stipulait que Kaori s’était enfui ? Mais non ! Le garçon lui avait dit que c’était son maître qui l’avait revendu en ayant eu connaissance des sentiments qu’éprouvait à son égard son esclave ! Scott faisait confiance à Kaori. Il savait qu’il n’avait pas pu lui mentir. Alors c’était ce papier qui était mensonger. Mais comment le prouver ? Le rouquin avait l’air d’avoir des relations haut placées puisqu’il avait obtenir la signature d’un juge pour attester de la validité de ces actes de propriété. Comment faire ?
Mais aussitôt que le châtain se posait cette question il pensa tout de suite à ses parents. Ils étaient des avocats de grande renommée en Angleterre. Si jamais cela se passait mal dans ce bureau, Scott pourrait toujours faire demander un procès afin d’avoir la responsabilité de Kaori et ses parents l’aideraient. Oui, voilà. Tout allait bien se passer. Il ne fallait pas en douter sinon, ça déraperait et le garçon serait obligé de retourner avec l’un de ses bourreaux.

Avec Kaori

Kaori se fit alros giflait violemment. Encore une fois. Il tomba à terre. Les chocs étaient violents. Il remarqua que dans cette villes ont traiter les esclaves comme des chiens. Même les policiers n’avaient aucun respect pour eux. Les larmes coulèrent et alros qu’il ferma les yeux il se rapella la phrase fétiche de sa mère. ‘Garde confiance dans les personnes qui détienne l’ordre et l’autorité’. Mais ici tout était complètement sous les mains de crapule. Il avait mal au joue et ne disait plus rien. Il vérifièrent alros dans les archive et vire que c’était bel et bien un esclave sans problème. Un des policiers revint donc avec une chaîne et l’enchaina. Kaori qui était ncore assomé par les coups ne disait rien. Il pleurait légèrement de tout ça, il venait de comprendre que tout finissait là. Il regarda les policiers qui n’avait aucune pitié. Décidément que ce soit un enfant ou un adulte quand on est esclave on le reste. Une fois les chaine mise ils en profitèrent pour le frapper à volonté et avec violence. Il vit ensuite un homme avec son armes lui relever la tête et lui crie dessus de parler, de crier, de ce débattre. Kaori ne disat toujours rien. Il ne voulait rien dire. L’homme frappa alros violemment Kaori avec la crosse de son fusil. Kaori tomba inonscient le sang commença à couler. Il le relevèrent alros et l’enfermèrent dans une cellule Mais alors que kaori auraitpu enfin souflet il fut dépouiller de tout vêtements. Cela ayant pour seul et unique but d’humilier et de rendre malade l’esclave pour qu’il parle et cri devantla souffrance. Son orps ainsi découvert laisser paraître toutes les marques de sa jeunesse. Il en était couvert totalement. Pas une partie de son corp n’avait un bleu, une cicatrice. Dans la celule on le posa de face au mur pour qu’il puisse cacher légèrement son intimité mais cela ne faisait pas grand changement car tout son corps était découvert et à la vue de tous. Mais Kaori ne pleurait. Il récupéra son visage neutre. C’était fini le bonheur. Il comprenait que maintenant c’était de nouveau un simple esclave.Il ferma alors les yeux laissant le san couler sans rien caché. Il n’essayait pas de cacher des partie de son corps. C’est traitement il connaissait.

Avec Scott :

Le policier regarda les papier. Il remarque que Scott lisait le papier de l’ancien maître de Kaori. Il les bougea donc pour qu’ils soient hors de sa portée. Il regarda rendit les papier d’identité et regarda Scott. Il souria légèreent avant d’annoncer ce que tout le monde redouter. Lenfant aller revenir à celui qui l’avait égaré. Scott n’ayant pas de papier attestant une tel propriété ils ne pourraient donc pas l’avoir. Voilà donc kaori qui devait revenir au main du rouquin. Mais avant le poicer posa quelques questions.

« Pourquoi votre esclaves nous a dit que vous étes son frère ? Et si vous êtes vraiment son maître pourquoi ne pas avoir fait un acte de propriété…si vous ne vouez pas que ce monsieur l’ai il va falleoir trouver des bonnes explication… »

(c'est vraiment l'invention du siècle ^^)

( Pauv' tit Kaori T'es sadique avec lui XD )

Scott se fichait que le policier lui cache les documents. Il avait eu le temps de voir ce qui l’intéressait et ce qui lui prouvait que ce rouquin était vraiment une belle pourriture qui avait besoin de ses relations haut placées pour agir. C’était bien beau de connaître du monde mais pourquoi utiliser cet atout pour récupérer Kaori ? Etait-il si important que ça aux yeux de son ancien maître ? Sans doute que celui-ci n’avait pas trouvé un autre esclave aussi docile que le garçon. Il devait se sentir trop frustré parce qu’il ne trouvait personne sur qui il pourrait passer ses envies sans problème. Dire que cet imbécile avait abusé de Kaori… Cette pensée ne fit qu’énerver encore plus Scott. Savoir que son ami avait été souillé par ce sale type… Heureusement qu’il y avait ce policier présent dans la pièce sinon ce rouquin aurait déjà le nez en sang à l’heure qu’il était.
Voulant essayer de contrôler ses émotions et se calmer, le guitariste ferma un instant les yeux et respira profondément. Où était Kaori en ce moment ? Il avait besoin de le voir. Voir son visage enfantin pour se sentir mieux. Le serrer contre lui et le câliner comme à l’hôpital. Ils auraient dû rentrer directement à l’hôtel plutôt que de venir faire les magasins. Scott aurait prêté quelques vêtements au garçon pour la journée en ayant fait quelques modifications pour qu’ils soient à la bonne taille… C’était bien beau d’imaginer tout cela mais ça ne pouvait pas changer le moment présent. S’il ne faisait rien, il ne reverrait jamais Kaori. Celui-ci retournerait avec son ancien bourreau et tout recommencerait pour lui. Les coups, la malnutrition, les viols… Non… Non ça ne se passerait pas comme ça ! L’Anglo-irlandais allait leurs prouver qu’il était digne d’avoir le garçon, d’en avoir la responsabilité. Il voulait encore voir le sourire du jeune Japonais, pouvoir dormir contre lui, lui offrir tout ce dont il avait besoin, lui donner toute la tendresse qu’il voulait… Alors non, il ne laisserait pas ce sale rouquin pervers et violent avoir de nouveau Kaori entre ses mains.
Alors Scott reprit son calme ainsi que ses papiers en entendant que Kaori avait menti et l’avait fait passer pour son frère. Si ça n’avait pas été dans ces circonstances là, l’adulte en aurait souri, trouvant les paroles de son ami très touchantes.

« Il vous a dit cela parce que je le considère comme tel. Je lui ai dit qu’avec moi, il ne serait jamais traité comme un esclave mais comme un membre de ma famille. » répondit-il à la première question.

Même s’ils ne se ressemblaient pas, Scott prenait Kaori pour son petit frère. Enfin, pas exactement mais en tout cas, il était plus qu’un esclave à ses yeux et plus qu’un ami. Un ami n’avait sans doute pas besoin d’autant d’aide de sa part donc c’était pour cela qu’il ne le considérait pas de la sorte. Mais le garçon représentait beaucoup pour le guitariste. Ca il en était certain et il l’avait prouvé plus d’une fois à Kaori.

« Je ne savais pas qu’il fallait avoir un acte de propriété. Le vendeur ne m’en a pas parlé. Il s’est contenté de prendre l’argent que je lui donnais pour acheter Kaori et nous a laissé partir. » expliqua t-il, maudissant intérieurement le vendeur. « Je pensais qu’il suffirait juste de faire des papiers pour Kaori afin de le garder. »

Il avait dit cette dernière phrase avec une voix où l’on entendait une pointe de tristesse, comme s’il allait perdre un être cher. Mais c’était le cas. Kaori était cher à ses yeux. Il ne voulait pas le perdre alors que cela ne faisait que deux jours qu’il l’avait à ses côtés. Deux jours, c’était peut-être peu mais durant ce court laps de temps, Scott s’était attaché au garçon. Il voulait le faire comprendre au policier. Peut-être que celui-ci serait attendrit par l’affection que portait l’adulte envers Kaori et qu’il les laisserait tranquilles. Pour le moment, c’était tout ce que trouvait l’Anglo-irlandais pour avoir une chance de récupérer son ami. Puisque le rouquin avait la loi de son côté, on pouvait toujours jouer sur les sentiments. Quoique… il n’avait pas tellement la loi de son côté d’après ce qui était écrit sur l’acte de propriété. Il y avait quelques trucs mensongers dedans. Ce serait bien de pouvoir s’en servir en sa faveur…

(oué mais bon la partie de Kaori c’est fifi qui a eu l’idée XD)

Le policier regarda Scott lorsqu’il parlait. Et oui bien sur mais pour le policier le rouquin était en règle. Et donc il était le légitime propriétaire de Kaori. Ils ne pourraient rien y changer. Enin peut-être que si mais ça ils savaient pas. Le policier regarda une nouvelle fois les actes de propriété. Et oui il n’y avait pas de doute. Kaori devait revenir à son ancien maître. En fait le policier qui avait un cœur contrairement à ses collègue futtoucher du comportement de Scott. Mais bon dans cette ville les esclave ne sont pas aussi bien traiter. Le policier ce tourna alros vers un de ses collègue et lui dit d’amenner l’esclave. Celui ci parti donc le récupérer et il vit ce que les autres avait fait. Il ne dit rien ne voyant pas ça dun très grand intérêt. Il tira violemment sur la chaîne et le fit violemment tombé. Mais pas un mot ne sortait de sa bouche. Il se releva assez difficilement et il le traina dans la salle avec les autre. Il baisser la tête sans un mot. Il ne regardait pas Scott ni le policier ou le rouquin il regardait ses pied. Il avait honte de ce présenter à eux sans un vêtement. Enfin ce qui l’affecta le plus c’était Scott. Il est vrai qu’il n’a jamais été autant humilieer que dans ce moment là devant son ami. Il ne pleurait pas mais c’était tout proche. Il écouta alros le policier ui dire qu’il allait revenir avec le rouquin. Celui ci ce leva et alla le chercher. Il le regarda méchamment. Kaori baisssa encore plus la tête complètement effrayer.

« Gomen monsieur… »

Le rouquin les salua et s’apprêta alros à partir en trainant brutallement Kaori derrière lui.

Scott espérait avoir convaincu le policier de lui laisser Kaori plutôt que de le redonner au rouquin qui allait maltraiter de nouveau. Il voulait que le garçon reste avec lui pour être heureux. Il avait tellement changé en si peu de temps avec le guitariste. Ca montrait bien qu’il se sentait bien avec lui, non ? Pourquoi son ancien maître voulait-il le reprendre ? Il y avait encore des tas d’esclaves en magasin. Pourquoi ne pas en choisir un ? C’était peut-être méchant de penser cela voir égoïste mais Scott voulait avoir Kaori pour lui tout seul. Que personne ne le fasse souffrir comme avant. Il voulait s’occuper du garçon, le rendre heureux, le câliner encore et encore.
Le policier demanda à l’un de ses collègues d’aller chercher le jeune Japonais. Est-ce que celui-ci pourrait repartir avec le châtain ? C’était à espérer. Mais le cœur de Scott se serra en voyant Kaori entrer dans la pièce. On l’avait battu et déshabillé. Non… Kaori… L’agent confirma les craintes du guitariste. Le garçon était de nouveau l’esclave du rouquin. Ce dernier se leva et alla prendre la chaîne qui retenait son esclave comme un chien. L’Anglo-irlandais ne pouvait pas supporter cela. Il se leva vivement de sa chaise, la faisant tomber dans la précipitation, et avança rapidement vers Kaori devant qui il tomba à genoux et qu’il enlaça. Non… Son Kaori, maltraité alors qu’il n’avait été qu’à quelques mètres de lui. C’était injuste. Et maintenant, il allait revivre toutes les souffrances qu’on lui avait infligés. Des larmes coulèrent sur les joues de Scott alors qu’il tenait toujours le garçon contre lui, ne voulant le lâcher pour rien au monde. Mais une idée lui traversa l’esprit. Le rouquin n’avait pas encore gagné. Peut-être bien qu’il avait des actes de propriété qui prouvaient que Kaori lui revenait mais le guitariste avait aussi un document qui montrait qu’il était responsable de son ami.
Ne lâchant que d’une main Kaori, il plongea l’autre dans sa poche et en sortit les papiers qu’on lui avait donné à l’hôpital. Il les donna au policier qui l’avait écouté et qui semblait avoir un cœur lui.

« J’ai acheté Kaori. Il est à moi. J’ai payé les frais d’hôpital en étant son responsable. Ca prouve qu’il m’appartient. » lâcha t-il légèrement énervé, ne voulant pas qu'on lui vole Kaori.

Jamais il ne laisserait Kaori partir avec ce sale rouquin. Jamais. Et il le montra au garçon en l’enlaçant de nouveau, se fichant de sa nudité. Dans d’autres circonstances, sans doute que voir un corps nu lui aurait donné des envies bizarres mais là, le moment était trop grave pour qu’il y pense. Alors pendant que le policier regardait les papiers, Scott garda son ami contre lui, le berçant doucement pour le rassurer. Pourvu qu’ils puissent rester ensemble. L’adulte s’en voulait un peu d’avoir parler de la sorte devant Kaori mais puisque tout le monde le prenait pour un esclave, autant parler avec les termes appropriés. Le garçon ne lui en voudrait sans doute pas du moment que ça marchait.

Scott laissa le policier examiner les documents de l’hôpital pendant que lui, gardait Kaori tout contre lui, lui donnant peut-être pour la dernière fois sa tendresse. Il savait bien qu’il ne fallait pas penser cela mais c’était peut-être vrai. Le garçon lui aussi le serrait dans ses bras, se fichant lui aussi de sa nudité. Ce n’était pas ça qui allaient les empêcher de partager un moment de tendresse.
Et apparemment, ce ne serait pas le dernier. Le policier enleva la chaîne des mains du rouquin et libéra Kaori. Ils… Ils avaient gagné. Ils pourraient rentrer à la maison tout les deux. Scott serra encore plus le garçon contre lui, n’y croyant pas. Mais c’était bien la vérité. Des larmes de bonheur coulèrent, remplaçant celles de tristesse. Son Kaori n’allait pas retourner avec son ancien maître.
Le guitariste releva la tête vers le policier et le remercia beaucoup. C’était grâce à lui qu’ils étaient de nouveau ensemble. Pas du tout grâce à ses collègues qui avaient maltraîté le jeune Japonais. Celui-ci commençait à avoir froid vu les frissons que sentait contre lui le châtain. Pas étonnant. Le pauvre était en tenue d’adam. Il le laissa donc se glisser dans son manteau et le resserra contre lui pour lui offrir sa chaleur et ses bras protecteurs. Il s’essuya les joues inondées de larmes et posa un bisou sur le front de Kaori en l’entendant parler. Le garçon avait l’air d’aller beaucoup mieux maintenant. Et oui il aurait son bain. Dès qu’ils arriveraient à l’hôtel.
Scott se redressa, portant son ami dans ses bras. Son manteau était assez long et recouvrait les parties intimes de Kaori. Heureusement. Sinon ils auraient dû traverser la ville comme ça. Quoique le guitariste aurait quand même eu le bon sens d’acheter quelques vêtements. Les courses étaient encore compromises pour aujourd’hui. Tant pis. Scott téléphonerait au magasin pour acheter déjà ce qu’ils avaient choisi. Il demanderait ensuite qu’on lui apporte les articles à la maison. Kaori devait se reposer après ce qui venait de lui arriver. En fin d’après-midi ils pourraient aller à la plage et le garçon aurait sa glace comme il le voulait.

« Un bon bain chaud plein de mousse et sans canard en plastique pour mon Kaori, d’accord. » répondit-il avec le sourire, content de pouvoir de nouveau lui faire plaisir.

Après un dernier remerciement pour le policier qui les avait aidés, un regard froid pour le rouquin et son acolyte et aussi après avoir reprit les papiers, Scott sortit de la pièce, tenant son mignon p’tit Kaori contre lui. Il n’y avait pas à dire, il fondait littéralement en pensant à lui et était près à tout pour qu’il soit heureux.

[ Je te laisse répondre ici et je poste à l’hôtel ^^ ]

Kaori gardai les yeux fermé de peur de voir Scott partir. Mais lorsqu'il se sentit soulever il eut un petit sourire. C'est aussi grâce aux paroles de Scott qu'il avait souri. il avait alros ouvert doucement les yeux. Il regarda le policier qui était vraiment gentil. Il lui dit alros gentillement.

"Au revoir monsieur le policier..."

Il vit alros un petit sourire sur le visage u policier. Il regarda ensuite le rouquin. celui ci était vraiment en colère de pas l'avoir récupéré. Et il regarda toutes les autres personnes qui en moins d'une semaine l'avait maltraiter. Pais son regard ce reposa quand même sur le rouquin. Puis ils sortirent de la salle. Les regard des lients ce poser sur eux mais kaori s'en fichai. Il posa sa tête sur l'épaule de Scott avant de dire doucement le visage un peu triste.

"C'est lui mon dernier maître celui qui m'avait abandonner car je l'aimais..."